samedi 23 octobre 2021

Cinéma, cinéma, cinéma



Le festival se termine demain, 

en musique avec 


Duo Esteria

Serge Chamois à l'accordéon  et Quentin Nedelcu à la guitare






Quelques notes du Duo Esteria, demain à 20h au petit Kursaal




Leonor Harispe (Argentine): chant 
Ludovic Deny : bouzouki
Frédéric Theiler: percussion
Mathieu Guenez: guitare et oud

et aussi



mais n'oubliez pas encore quelques heures pour (re)voir les photos du Mexico secreto de Marion

et aujourd'hui 

les dernières projections: La llorona, la vie invisible d'Euridice Gusmao, Sin señas particulares


Le café- apéro-ciné rendez-vous cinéma avec la participation de latinoamericalli

et  demain 

14h le dernier film

13h30-15h 
Tango

et à partir de 16h
Vente au déballage d'artisanat cubain et péruvien
avec Cuba autrement et Iris Pérou

et la petite restauration

























Préparez votre semaine Latino Corazón, 12ème édition du 20 au 27 Novembre. Chargez et imprimez le programme ou trouvez- le partout dans les lieux culturels de la ville.

Vous pouvez télécharger le programme ici


Compte-tenu du protocole sanitaire actuellement en vigueur, les séances initialement annoncées à 10 h sont réservées uniquement au public scolaire et ne pourront accueillir de spectateurs individuels.











Une idée des films? 

Soirée d'ouverture 20h30 lundi 22

Araña (La toile de l’araignée)

ANDRÉS WOOD, 1h45-VOSTF-CHILI -2019

Avant- première

Chili, années 70. Inès, Justo et Gerardo, la vingtaine, sont membres d’un groupuscule d’extrême droite, soutenu par la CIA et déterminé à renverser le gouvernement d’Allende. Ensemble, ils commettent un crime politique qui change l’histoire du pays et les sépare à jamais, mettant fin à leur triangle amoureux. 40 ans plus tard, Gerardo réapparait... Inès, devenue une puissante femme d’affaires, fera tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher le passé de remonter à la surface.


ANDRÉS WOOD 

Il appartient à la génération qui n'a connu l'Unité Populaire et le coup d'État que comme enfant (à la différence de Patricio GuzmánMiguel Littin ou Raul Ruiz).

"J'appartenais comme Gonzalo à la bourgeoisie chilienne, mais à la différence de ce que je montre dans le film Mon ami Machuca , je n'avais pas de problèmes familiaux. Mes parents se sont toujours bien entendus. En revanche, ils étaient de droite, et moi j'avais des idées bien à gauche ", déclare-t-il dans un entretien. Il a huit ans quand les militaires mettent fin à la présidence de Allende et à l'expérience de mixité sociale du père Whelan dans son collège.

Entre 1984 et 1988, il étudie les Sciences Économiques à l'Université pontificale catholique du Chili. Sa conscience politique débute avec la projection clandestine du documentaire interdit de Patricio Guzmán : La Bataille du Chili.
( Wikipédia)



Jayro Bustamante – 1h37, Guatemala, 2019
Avec María Mercedes Coroy, Sabrina De La Hoz, Julio Díaz


La Llorona : seuls les coupables l’entendent pleurer. Selon la légende, la Llorona est une pleureuse, un fantôme qui cherche ses enfants. Aujourd’hui, elle pleure ceux qui sont morts durant le génocide des indiens mayas. Le général, responsable du massacre mais acquitté, est hanté par une Llorona. Est-elle venue punir celui que la justice n’a pas condamné ?
« Après Ixcanul et Tremblements, La Llorona boucle une trilogie. J’ai voulu dénoncer les trois mots les plus discriminants qui soient au Guatemala. Le premier, c’est « Indiens ». Il désigne les indigènes mayas dont parle Ixcanul . Le second, c’est « homosexuels », le sujet de Tremblements. Le troisième, c’est « communistes ». C’est ainsi qu’on désigne ceux qui défendent les droits de l’homme. C’est notamment de cela que parle La Llorona. Prendre une terre comme le Guatemala et la confronter à ce mythe me semble très naturel. Cela me permet d’emprunter au cinéma de genre pour parler du dictateur le plus sanguinaire de l’Amérique latine. Ce film mélange l’histoire des assassinats durant la guerre civile, la condamnation d’Efraín Ríos Mott, prononcée, puis annulée, le procès pour crimes contre l’humanité des militaires stationnés à Sepur Zarco, l’esclavage domestique et sexuel des femmes indigènes, la misogynie, la religiosité, le mysticisme et le réalisme magique. Tous ces éléments s’agrègent dans un climat de suspens et de peur qui va au-delà de la légende. Inspiré de mes peurs enfantines et de mes terreurs d’adulte, j’ai essayé de dénoncer une situation, sans renoncer à faire du cinéma. »
Jayro Bustamante

 Nouvelle séance de ciné pour los amigos
le vendredi 19 novembre à Besançon à 20h


Le film mexicain d’Arturo Ripstein :
 « Carmin profond» 
1996 - 1h54 :


à la maison de quartier de Rosemont / Saint Ferjeux

1 av Ducat Besançon ( près du Casino)

 

la réservation est obligatoire

 à Latinoamericalli9@gmail.com

ou tel  (06 19 25 56 20)

Soyez à jour de votre adhésion






C’est l’épopée sanglante d'un couple kitsch des années quarante. C'est l'histoire de Coral, jeune infirmière mexicaine qui voue une admiration sans borne à Charles Boyer. Un jour, elle découvre dans un magazine le sosie de son idole, Nicolas. Elle le séduit, s'impose et l'aide à plumer les veuves et les célibataires.

C'est presque un film improbable, tiré d'une histoire vraie. L'histoire d'un amour fou, passionnel jusqu'au tragique, l'amour à mort, né d'une rencontre entre deux êtres tristes et misérables.La farce est d'abord drôle, d'une douceur amer rappelant un peu le romantisme cassé de John Fante, "Demande à la poussière" dans de jolis décors du Mexique des années 40... Mais le conte est rattrapé par son réalisme et vire au sinistre avec une perversité fusionnelle qui ne cessera de rendre le film dérangeant...

L'amour fou de deux amoureux fous à lier.

 

 















Préparez votre semaine Latino Corazón, 12ème édition du 20 au 27 Novembre. Chargez et imprimez le programme ou trouvez- le partout dans les lieux culturels de la ville.

Vous pouvez télécharger le programme ici


Compte-tenu du protocole sanitaire actuellement en vigueur, les séances initialement annoncées à 10 h sont réservées uniquement au public scolaire et ne pourront accueillir de spectateurs individuels.











Une idée des films? 

Soirée d'ouverture 20h30 lundi 22

Araña (La toile de l’araignée)

ANDRÉS WOOD, 1h45-VOSTF-CHILI -2019

Avant- première

Chili, années 70. Inès, Justo et Gerardo, la vingtaine, sont membres d’un groupuscule d’extrême droite, soutenu par la CIA et déterminé à renverser le gouvernement d’Allende. Ensemble, ils commettent un crime politique qui change l’histoire du pays et les sépare à jamais, mettant fin à leur triangle amoureux. 40 ans plus tard, Gerardo réapparait... Inès, devenue une puissante femme d’affaires, fera tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher le passé de remonter à la surface.


ANDRÉS WOOD 

Il appartient à la génération qui n'a connu l'Unité Populaire et le coup d'État que comme enfant (à la différence de Patricio Guzmán, Miguel Littin ou Raul Ruiz).

"J'appartenais comme Gonzalo à la bourgeoisie chilienne, mais à la différence de ce que je montre dans le film Mon ami Machuca , je n'avais pas de problèmes familiaux. Mes parents se sont toujours bien entendus. En revanche, ils étaient de droite, et moi j'avais des idées bien à gauche ", déclare-t-il dans un entretien. Il a huit ans quand les militaires mettent fin à la présidence de Allende et à l'expérience de mixité sociale du père Whelan dans son collège.

Entre 1984 et 1988, il étudie les Sciences Économiques à l'Université pontificale catholique du Chili. Sa conscience politique débute avec la projection clandestine du documentaire interdit de Patricio Guzmán : La Bataille du Chili.
( Wikipédia)



Jayro Bustamante – 1h37, Guatemala, 2019
Avec María Mercedes Coroy, Sabrina De La Hoz, Julio Díaz


La Llorona : seuls les coupables l’entendent pleurer. Selon la légende, la Llorona est une pleureuse, un fantôme qui cherche ses enfants. Aujourd’hui, elle pleure ceux qui sont morts durant le génocide des indiens mayas. Le général, responsable du massacre mais acquitté, est hanté par une Llorona. Est-elle venue punir celui que la justice n’a pas condamné ?
« Après Ixcanul et Tremblements, La Llorona boucle une trilogie. J’ai voulu dénoncer les trois mots les plus discriminants qui soient au Guatemala. Le premier, c’est « Indiens ». Il désigne les indigènes mayas dont parle Ixcanul . Le second, c’est « homosexuels », le sujet de Tremblements. Le troisième, c’est « communistes ». C’est ainsi qu’on désigne ceux qui défendent les droits de l’homme. C’est notamment de cela que parle La Llorona. Prendre une terre comme le Guatemala et la confronter à ce mythe me semble très naturel. Cela me permet d’emprunter au cinéma de genre pour parler du dictateur le plus sanguinaire de l’Amérique latine. Ce film mélange l’histoire des assassinats durant la guerre civile, la condamnation d’Efraín Ríos Mott, prononcée, puis annulée, le procès pour crimes contre l’humanité des militaires stationnés à Sepur Zarco, l’esclavage domestique et sexuel des femmes indigènes, la misogynie, la religiosité, le mysticisme et le réalisme magique. Tous ces éléments s’agrègent dans un climat de suspens et de peur qui va au-delà de la légende. Inspiré de mes peurs enfantines et de mes terreurs d’adulte, j’ai essayé de dénoncer une situation, sans renoncer à faire du cinéma. »
Jayro Bustamante





Adhérents, une séance de cinéma vous attend le 22 Octobre à 20 h

à la Maison de Quartier de St Ferjeux

1, rue Ducat

Passe sanitaire et masque obligatoire


 


REFUGIADO   

Film de Diego Lerman, Argentine, 2015, 1h33

Laura et son fils de 7 ans quittent précipitamment leur appartement de Buenos Aires pour échapper à l’emprise d’un père menaçant. Les deux fugitifs s’engagent alors dans une course contre la montre à la recherche d’un refuge et d’une nouvelle vie.

En 2010, un fait divers m’a profondément bouleversé. Nous préparions la sortie de mon long-métrage L’Œil invisible et juste en bas des bureaux de production, un homme a tiré de sang froid sur son ex-femme, comme ça, sous les yeux de leurs enfants, qu’elle accompagnait à l’école. Par miracle, elle s’en est sortie. ( Diego Lerman)
L’homme, lui, a été arrêté et condamné à 21 ans de prison. Cette histoire m’a terriblement marqué et j’ai commencé à enquêter sur le sujet… 

 







Attention, réservation obligatoire 

 latinoamericalli9@gmail.com ou tel  (06 19 25 56 20)


 Belles journées à Besançon, rentrée littéraire, musicale et..

 cinématographique


Nous vous invitons à notre prochaine rencontre cinéma 

à la maison de quartier St Ferjeux

1, rue Ducat

 pour (re)découvrir

La fin (violente) de la dictature chilienne parce qu'une dictature est une dictature

vendredi 24 septembre à 20h



NO


 de Pablo Larrain

Chili, 2012

en V.O sous-titres en français


Lorsque le dictateur chilien Auguste Pinochet sous la pression internationale consent à organiser un référendum sur sa présidence, les dirigeants de l' d'opposition convainquent René Saavedra, un jeune et brillant  publicitaire de concevoir leur campagne. Avec peu de moyens mais des méthodes innovantes, Saavedra et son équipe organisent un plan audacieux pour libérer le pays de l'oppression, malgré la surveillance constante des hommes de Pinochet.

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