Bande annonce, premier long métrage récompensé en 2013 à Venise du cinéaste chilien. Né en 1972 à Conception il a vécu ses 18 premières années en France avec ses parents exilés pendant la dictature puis y est revenu en France après une année d'études d'histoire au Chili pour rejoindre la Femis. Il poursuit encore ensuite ses études de cinéma à l' Escuela Internacional de Cine y Televisión, San Antonio de los Baños, Cuba .
Chili, 1974, à l'aube de la dictature d' Augusto Pinochet. Trois sœurs déjà mûres vivent isolées dans la montagne avec leur troupeau de chèvres, où elles préparent le fromage qu'elles vendront dans les grandes villes pour subvenir à leurs besoins. Mais un voisin sénile puis un voyageur de passage leur annoncent des nouvelles inquiétantes : les autorités interdisent désormais les pâturages, et la répression est féroce. Devant l'abandon et la crainte, les sœurs sombrent dans le désespoir... (Wikipédia)
Chili 1974. Justa, Lucia et Luciana Quispe, trois bergères de l’Altiplano, mènent une vie retirée au rythme de la nature. À son arrivée au pouvoir,Pinochet remet en question ce mode de vie ancestral. Les trois soeurs traversent alors une crise existentielle qui aura un retentissement unique dans l’histoire contemporaine du Chili.(Première)
Réservation obligatoire, latinoamericalli9@gmail.com ou téléphone 0619255620, cotisation à jour..
Le film du mois de Mars, à la Maison de quartier..
Brillante prestation du Duo Esteria, mal filmée mais la musique et le sourire de Quentin et Serge sont là!
En première partie Serge Chamoy l'accordéoniste et Quentin Nedelcu
et le CUARTETO TAFI
pour un grand moment d'émotion
et de plaisir
toutes les photos et vidéo sont de Sylvie Lanz, c'est pour ça qu'on ne me voit jamais!
avec aux percussions Frédéric Theiler
Matthieu Guenez, guitare et oud
Ludovic Deny, bouzouki
Leonor Harispe, composition, chant (et danse)
autres photos prochainement
Mais aussi une partie de l'équipe très présente sur le site du festival, le petit Kursaal (on a retiré les masques 2 secondes le temps du cliché) pendant toute la semaine
Et à Radio Bip où Chantal anime une émission hebdomadaire
La parole et le chant
Les invités: Claude et Marion
Claude Jeannier animateur de l'atelier tango du Samedi
vite un sourire sans masque! Marion
en vidéo, Serge
Avec Marion à l'ASEP pour le vernissage de l'exposition de ses photos "Mexico secreto"
Allez, retour sur la soirée de clôture
Nous aussi on va voir le spectacle!
Les complices de 1,2,3, merci!
Serge Chamoy
Quentin Nedelcu
Vente au déballage
Ne pas publier les photos sans autorisation. Merci
mais n'oubliez pas encore quelques heures pour (re)voir les photos du Mexico secreto de Marion
et aujourd'hui
les dernières projections: La llorona, la vie invisible d'Euridice Gusmao, Sin señas particulares
Le café- apéro-ciné rendez-vous cinéma avec la participation de latinoamericalli
et demain
14h le dernier film
13h30-15h
Tango
et à partir de 16h
Vente au déballage d'artisanat cubain et péruvien
avec Cuba autrement et Iris Pérou
et la petite restauration
Préparez votre semaine Latino Corazón, 12ème édition du 20 au 27 Novembre. Chargez et imprimez le programme ou trouvez- le partout dans les lieux culturels de la ville.
Compte-tenu du protocole sanitaire actuellement en vigueur, les séances initialement annoncées à 10 h sont réservées uniquement au public scolaire et ne pourront accueillir de spectateurs individuels.
Chili, années 70. Inès, Justo et Gerardo, la vingtaine, sont membres d’un groupuscule d’extrême droite, soutenu par la CIA et déterminé à renverser le gouvernement d’Allende. Ensemble, ils commettent un crime politique qui change l’histoire du pays et les sépare à jamais, mettant fin à leur triangle amoureux. 40 ans plus tard, Gerardo réapparait... Inès, devenue une puissante femme d’affaires, fera tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher le passé de remonter à la surface.
"J'appartenais comme Gonzalo à la bourgeoisie chilienne, mais à la différence de ce que je montre dans le film Mon ami Machuca , je n'avais pas de problèmes familiaux. Mes parents se sont toujours bien entendus. En revanche, ils étaient de droite, et moi j'avais des idées bien à gauche ", déclare-t-il dans un entretien. Il a huit ans quand les militaires mettent fin à la présidence de Allende et à l'expérience de mixité sociale du père Whelan dans son collège.
Entre 1984 et 1988, il étudie les Sciences Économiques à l'Université pontificale catholique du Chili. Sa conscience politique débute avec la projection clandestine du documentaire interdit de Patricio Guzmán : La Bataille du Chili.
( Wikipédia)
Jayro Bustamante – 1h37, Guatemala, 2019
Avec María Mercedes Coroy, Sabrina De La Hoz, Julio Díaz
La Llorona : seuls les coupables l’entendent pleurer. Selon la légende, la Llorona est une pleureuse, un fantôme qui cherche ses enfants. Aujourd’hui, elle pleure ceux qui sont morts durant le génocide des indiens mayas. Le général, responsable du massacre mais acquitté, est hanté par une Llorona. Est-elle venue punir celui que la justice n’a pas condamné ? « Après Ixcanul et Tremblements, La Llorona boucle une trilogie. J’ai voulu dénoncer les trois mots les plus discriminants qui soient au Guatemala. Le premier, c’est « Indiens ». Il désigne les indigènes mayas dont parle Ixcanul . Le second, c’est « homosexuels », le sujet de Tremblements. Le troisième, c’est « communistes ». C’est ainsi qu’on désigne ceux qui défendent les droits de l’homme. C’est notamment de cela que parle La Llorona. Prendre une terre comme le Guatemala et la confronter à ce mythe me semble très naturel. Cela me permet d’emprunter au cinéma de genre pour parler du dictateur le plus sanguinaire de l’Amérique latine. Ce film mélange l’histoire des assassinats durant la guerre civile, la condamnation d’Efraín Ríos Mott, prononcée, puis annulée, le procès pour crimes contre l’humanité des militaires stationnés à Sepur Zarco, l’esclavage domestique et sexuel des femmes indigènes, la misogynie, la religiosité, le mysticisme et le réalisme magique. Tous ces éléments s’agrègent dans un climat de suspens et de peur qui va au-delà de la légende. Inspiré de mes peurs enfantines et de mes terreurs d’adulte, j’ai essayé de dénoncer une situation, sans renoncer à faire du cinéma. » Jayro Bustamante
Nouvelle séance de ciné pour los amigos
le vendredi 19 novembre à Besançon à 20h
Le film mexicain d’Arturo Ripstein :
« Carmin profond»
1996 - 1h54 :
à la maison de quartier de Rosemont / Saint Ferjeux
1 av Ducat Besançon ( près du Casino)
la réservation est obligatoire
à Latinoamericalli9@gmail.com
ou tel (06 19 25 56 20)
Soyez à jour de votre adhésion
C’est l’épopée sanglante d'un couple kitsch des années quarante. C'est l'histoire de Coral, jeune infirmière mexicaine qui voue une admiration sans borne à Charles Boyer. Un jour, elle découvre dans un magazine le sosie de son idole, Nicolas. Elle le séduit, s'impose et l'aide à plumer les veuves et les célibataires.
C'est presque un film improbable, tiré d'une histoire vraie. L'histoire d'un amour fou, passionnel jusqu'au tragique, l'amour à mort, né d'une rencontre entre deux êtres tristes et misérables.La farce est d'abord drôle, d'une douceur amer rappelant un peu le romantisme cassé de John Fante, "Demande à la poussière" dans de jolis décors du Mexique des années 40... Mais le conte est rattrapé par son réalisme et vire au sinistre avec une perversité fusionnelle qui ne cessera de rendre le film dérangeant...
L'amour fou de deux amoureux fous à lier.
Préparez votre semaine Latino Corazón, 12ème édition du 20 au 27 Novembre. Chargez et imprimez le programme ou trouvez- le partout dans les lieux culturels de la ville.
Compte-tenu du protocole sanitaire actuellement en vigueur, les séances initialement annoncées à 10 h sont réservées uniquement au public scolaire et ne pourront accueillir de spectateurs individuels.
Chili,
années 70. Inès, Justo et Gerardo, la vingtaine, sont membres d’un
groupuscule d’extrême droite, soutenu par la CIA et déterminé à
renverser le gouvernement d’Allende. Ensemble, ils commettent un
crime politique qui change l’histoire du pays et les sépare à
jamais, mettant fin à leur triangle amoureux. 40 ans plus tard,
Gerardo réapparait... Inès, devenue une puissante femme d’affaires,
fera tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher le passé de
remonter à la surface.
"J'appartenais comme Gonzalo à la bourgeoisie chilienne, mais à la différence de ce que je montre dans le film Mon ami Machuca , je n'avais pas de problèmes familiaux. Mes parents se sont toujours bien entendus. En revanche, ils étaient de droite, et moi j'avais des idées bien à gauche ", déclare-t-il dans un entretien. Il a huit ans quand les militaires mettent fin à la présidence de Allende et à l'expérience de mixité sociale du père Whelan dans son collège.
Entre 1984 et 1988, il étudie les Sciences Économiques à l'Université pontificale catholique du Chili. Sa conscience politique débute avec la projection clandestine du documentaire interdit de Patricio Guzmán : La Bataille du Chili.
( Wikipédia)
Jayro Bustamante – 1h37, Guatemala, 2019
Avec María Mercedes Coroy, Sabrina De La Hoz, Julio Díaz
La Llorona : seuls les coupables l’entendent pleurer. Selon la légende, la Llorona est une pleureuse, un fantôme qui cherche ses enfants. Aujourd’hui, elle pleure ceux qui sont morts durant le génocide des indiens mayas. Le général, responsable du massacre mais acquitté, est hanté par une Llorona. Est-elle venue punir celui que la justice n’a pas condamné ? « Après Ixcanul et Tremblements, La Llorona boucle une trilogie. J’ai voulu dénoncer les trois mots les plus discriminants qui soient au Guatemala. Le premier, c’est « Indiens ». Il désigne les indigènes mayas dont parle Ixcanul . Le second, c’est « homosexuels », le sujet de Tremblements. Le troisième, c’est « communistes ». C’est ainsi qu’on désigne ceux qui défendent les droits de l’homme. C’est notamment de cela que parle La Llorona. Prendre une terre comme le Guatemala et la confronter à ce mythe me semble très naturel. Cela me permet d’emprunter au cinéma de genre pour parler du dictateur le plus sanguinaire de l’Amérique latine. Ce film mélange l’histoire des assassinats durant la guerre civile, la condamnation d’Efraín Ríos Mott, prononcée, puis annulée, le procès pour crimes contre l’humanité des militaires stationnés à Sepur Zarco, l’esclavage domestique et sexuel des femmes indigènes, la misogynie, la religiosité, le mysticisme et le réalisme magique. Tous ces éléments s’agrègent dans un climat de suspens et de peur qui va au-delà de la légende. Inspiré de mes peurs enfantines et de mes terreurs d’adulte, j’ai essayé de dénoncer une situation, sans renoncer à faire du cinéma. » Jayro Bustamante
Adhérents, une séance de cinéma vous attend le 22 Octobre à 20 h
à la Maison de Quartier de St Ferjeux
1, rue Ducat
Passe sanitaire et masque obligatoire
REFUGIADO
Film de Diego Lerman, Argentine, 2015, 1h33
Laura et son fils de 7 ans quittent précipitamment leur appartement de Buenos Aires pour échapper à l’emprise d’un père menaçant. Les deux fugitifs s’engagent alors dans une course contre la montre à la recherche d’un refuge et d’une nouvelle vie.
En 2010, un fait divers m’a profondément bouleversé. Nous préparions la sortie de mon long-métrage L’Œil invisible et juste en bas des bureaux de production, un homme a tiré de sang froid sur son ex-femme, comme ça, sous les yeux de leurs enfants, qu’elle accompagnait à l’école. Par miracle, elle s’en est sortie. ( Diego Lerman) L’homme, lui, a été arrêté et condamné à 21 ans de prison. Cette histoire m’a terriblement marqué et j’ai commencé à enquêter sur le sujet…
Attention, réservation obligatoire
latinoamericalli9@gmail.com ou tel (06 19 25 56 20)
Belles journées à Besançon, rentrée littéraire, musicale et..
cinématographique
Nous vous invitons à notre prochaine rencontre cinéma
à la maison de quartier St Ferjeux
1, rue Ducat
pour (re)découvrir
La fin (violente) de la dictature chilienne parce qu'une dictature est une dictature
vendredi 24 septembre à 20h
NO
de Pablo Larrain
Chili, 2012
en V.O sous-titres en français
Lorsque le dictateur chilien Auguste Pinochet sous la pression internationale consent à organiser un référendum sur sa présidence, les dirigeants de l' d'opposition convainquentRené Saavedra, un jeune et brillant publicitaire de concevoir leur campagne. Avec peu de moyens mais des méthodes innovantes, Saavedra et son équipe organisent un plan audacieux pour libérer le pays de l'oppression, malgré la surveillance constante des hommes de Pinochet.